Interventions sur "pourquoi"

11 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Marc Tellier :

...olitiques publiques n'ont pas permis de démontrer un quelconque lien entre son instauration et l'investissement. Selon le laboratoire sur les inégalités mondiales, la fiscalité est de moins en moins progressive : le taux de prélèvement obligatoire est de 1 % pour les plus pauvres et de 0,1 % pour les plus riches ; le taux moyen étant de 45 %. En cause : la baisse de la fiscalité du capital. C'est pourquoi nous proposons de supprimer la flat tax instaurée en 2017, qui confère un avantage fiscal au capital.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDaniel Labaronne :

Et c'est pourquoi notre réforme a généré une augmentation des recettes fiscales. Par ailleurs, monsieur le président de la commission des finances, ce que vous dites s'agissant de la redénomination – tel est son nom – des revenus est totalement infirmé par ce rapport. Je pourrais vous retrouver précisément la page. Notre politique consiste à réformer le marché du travail, la fiscalité du capital, et à développer ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurélien Saintoul :

tandis que le 1 % des plus riches ont vu leur pouvoir d'achat progresser de 2,8 %. Le patrimoine des 500 Français les plus riches a augmenté de 30 %, y compris pendant la crise du covid. Aujourd'hui, vous nous faites croire que le PFU était une mesure de justice fiscale, personne ne peut le croire ; c'est pourquoi il faut le supprimer.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉmilie Bonnivard :

Je soutiens évidemment l'amendement de M. Vigier, car je constate l'urgence, en matière agricole, de renouveler les générations. Pourquoi repousser cette question à l'examen du PLF ? Voilà cinq ou six ans qu'on nous dit cela, alors qu'il faut que nous mobilisions tous les moyens disponibles dès à présent.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJustine Gruet :

Pour prolonger l'intervention de Mme Bonnivard, je rappelle que les aléas climatiques sont de plus en plus fréquents, qu'il s'agisse du gel, de la sécheresse, des orages, notamment dans les exploitations agricoles et viticoles du Jura. C'est pourquoi nous souhaitons indexer le plafond de la déduction pour épargne de précaution.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurélie Trouvé :

Voilà d'ailleurs pourquoi un débat sur la PAC serait bienvenu, tandis que le plan stratégique national prévoit 9 milliards d'euros d'aides par an. Or il n'y a pas eu de véritable débat sur ce point et aucun n'est prévu, alors que la Commission européenne retoque le plan pour des raisons notamment environnementales.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurélie Trouvé :

De nombreuses organisations, agricoles ou non, réclament l'instauration d'un tel fonds. Je terminerai mon intervention en évoquant deux problèmes non réglés : la volatilité des prix, certes, mais aussi la transition agroécologique qui permettrait de mieux faire face aux aléas climatiques. C'est pourquoi l'intergroupe NUPES soutient la signature de contrats de transition agro-écologiques dans le cadre de la PAC, ce qui impliquerait un abondement bien plus important du second pilier de ladite PAC – or une telle disposition n'est hélas pas appliquée.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Victor Castor :

Je n'ai pas pu m'exprimer tout à l'heure sur la situation des agriculteurs. C'est pourquoi ce qui vous paraîtra ici hors sujet, en fait, ne l'est pas. J'appelle votre attention à tous et aimerais obtenir une réponse du Gouvernement. En Guyane, l'État est propriétaire de 95 % des terres. Les jeunes agriculteurs qui sortent de l'école agricole ne peuvent pas avoir de foncier et obtiennent une parcelle de terre après parfois trois à quatre ans de procédures administratives. Après leur pro...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEva Sas :

...e opposition nombreuse et vigoureuse. Ils ont eu raison : la pression de l'opposition, ça marche ! Faut-il rappeler que le Royaume-Uni et l'Italie ont créé une surtaxe exceptionnelle sur les profits des énergéticiens, et que l'Espagne a, elle aussi, créé une taxation exceptionnelle pendant deux ans sur les surprofits des entreprises de l'énergie et des banques, qui va lui rapporter 7 milliards ? Pourquoi la France serait-elle le seul pays à être faible face aux multinationales et à ne pas vouloir redistribuer une part de ces bénéfices indus au profit tous les Français ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Philippe Tanguy :

Je comprends pourquoi les électeurs de la première circonscription de l'Eure ont choisi de remplacer celle qui vous avait succédé par une députée du Rassemblement national. Ils savent désormais que la seule force politique capable d'assurer la justice fiscale, la justice sociale et l'efficacité économique,…