Madame la présidente, vous m'avez dit tout à l'heure que, si Thomas Portes ne retirait pas son tweet, nous irions à la sanction. Venons-en au fait : vous allez convoquer le bureau de l'Assemblée, afin que nous puissions continuer à examiner le texte de réforme des retraites, qui va faire mal à tant de millions de Français, dans leur vie quotidienne et dans leurs dernières années de carrière.