Je rappelle que le président américain s'est lui-même rendu sur place mi-juillet et que le président turc et tant d'autres dans la région sont tout aussi actifs. Par ailleurs, il ne vous a pas échappé non plus que la région est traversée par des crises multiples, qu'il s'agisse du dossier nucléaire iranien, de la situation difficile au Liban et qui ne l'est pas moins en Irak, ou bien du conflit israélo-palestinien, sans résolution politique à l'horizon. Et pour être présents sur ces dossiers qui nous concernent directement puisqu'ils touchent à notre sécurité, il nous faut parler à tous les acteurs de la région, comme la France l'a toujours fait.