Les amendements de Nadia Hai pour ce dossier

21 interventions trouvées.

Il faudrait songer à changer le nom de votre parti : quand on fait moins de 2 %, on ne s'appelle pas « Debout la France » !

Nous partageons votre constat concernant le nombre de dossiers traités par chaque officier de police judiciaire (OPJ) et l'accumulation des procédures. Néanmoins, augmenter les crédits dédiés au recrutement n'est pas la solution. En 2023, 2 800 postes étaient à pourvoir, et la Lopmi prévoit d'augmenter ce chiffre dans les années à venir ; toute...

Il faut procéder à plusieurs améliorations. La première concerne l'attractivité du métier : il faut accélérer la simplification de la procédure pénale, ainsi que nous l'ont demandé à plusieurs reprises les forces de sécurité intérieure, et augmenter les investissements dans les outils numériques qui permettent de gagner du temps. Il faut égalem...

En commission, nous avons très longuement débattu de ce sujet qui me semble beaucoup trop grave pour s'adonner à une telle surenchère. On l'a dit et répété : le budget de l'action sociale a presque doublé entre 2020 et 2023 ; en 2024, il sera stable. Je rappelle que, dans mon intervention liminaire, j'ai formulé des propositions. Un courrier pa...

Il n'y a pas à tortiller, madame la députée, évidemment, lorsqu'il s'agit de nos forces de l'ordre ! Mais venant d'un parti politique et d'un groupe parlementaire qui disent que la police tue,…

Il n'y a pas à tortiller ? Mais c'est vous qui n'avez pas à tortiller, quand il s'agit de défendre nos forces de l'ordre !

Vous tremblez et vous êtes absents quand il s'agit de les applaudir et de les encourager, ou de leur rendre un hommage solennel.

Le sujet est beaucoup trop grave pour faire de la politique politicienne et de la surenchère : vous êtes vraiment ridicules !

Nous vous faisons bondir, à chacune de nos interventions, lorsque nous vous rappelons vos propos et vos actes. Contentez-vous de soutenir nos forces de l'ordre, vous en sortirez grandis !

…vous dites qu'il ne faut pas tortiller, mais nous ne tortillons pas ! Nous vous proposons un budget qui augmente les moyens accordés au soutien psychologique de nos forces de l'ordre, en prévoyant le recrutement de 328 psychologues contractuels…

Il ne faut pas soulever le sujet si les réponses vous dérangent ! Souffrez que je vous réponde, s'il vous plaît !

Donc, 350 cellules de veille des risques psycho-sociaux se sont réunies en 2022 afin d'examiner les indicateurs qui avaient été définis. Alors bien évidemment, un suicide est déjà un suicide de trop, mais en 2023, vingt-quatre suicides ont été recensés depuis le début de l'année, contre trente-huit en 2022. Je ne me satisfais pas de ce résultat...

Vous pouvez donc au moins reconnaître les efforts que nous avons consentis. Bien évidemment, il faut aller beaucoup plus loin ; c'est pourquoi il faut voter ce budget.

Je constate qu'il y a un écart surréaliste entre ce que vous dites ce soir et les votes qui sont les vôtres depuis plus d'un an.

Et vous savez quoi ? Il n'est pas nécessaire de remonter à l'année dernière. Il suffit d'aller voir ce qui s'est passé la semaine dernière, en commission : votre groupe a voté contre les crédits de la mission "Sécurités" . Or que prévoient-ils ?

Votre groupe a voté contre le recrutement de dix-neuf psychologues cliniciens. Et vous avez voté contre cinq recrutements supplémentaires de psychologues cliniciens.

Vous passez votre temps à dire des choses, et vous faites l'inverse quand il s'agit de passer aux actes ! Vos discours de politique politicienne commencent donc sérieusement…

Non, je ne suis pas hallucinante ! Ce sont vos propos qui le sont, et en particulier le décalage qu'il y a entre l'exposé de votre amendement et la réalité de vos votes. Comme lors du PLF pour 2023, vous n'avez pas voté les crédits de la mission "Sécurités" , qui prévoient pourtant des mesures allant dans le sens que vous souhaitez – si l'on e...

Je tiens, à titre liminaire, à rappeler le contexte dans lequel l'Assemblée s'apprête à examiner les crédits de la mission "Sécurités" . Les policiers et les gendarmes n'ont jamais été aussi mobilisés que ces derniers mois. Ils sont sur tous les fronts, luttant contre le grand banditisme et les trafics de stupéfiants, assurant la sécurité du qu...