Les amendements de Thomas Ménagé pour ce dossier

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…et vous le prouvez par votre attitude dans l'hémicycle : toujours les mêmes arguments, les mêmes amendements. Vous ne servez strictement à rien.

…vous avez retrouvé la moitié de votre cerveau : vous ne défendez plus vos amendements. Comme dirait l'autre, cela vous en laisse une bonne moitié. Mais retrouvez maintenant l'intégralité de votre intelligence et de votre cerveau : retirez vos amendements et permettez-nous de débattre de l'article 7 !

Madame la rapporteure générale, Mathilde Paris, vous et moi avons effectivement la chance d'habiter la très belle région Centre-Val de Loire.

Mais, si nous avons obtenu l'ouverture d'un CHU, ce n'est pas grâce au Ceser – ni grâce à M. Castex, comme le disent certains –, mais parce que la région souffrait d'une désertification médicale catastrophique.

Tous les élus se sont joints aux corps intermédiaires pour interpeller les pouvoirs publics sur notre situation déplorable. Je tiens à vous rappeler le coût du Cese et du Ceser pour les finances publiques : il s'élève respectivement à 46 millions et à 63 millions en 2023, soit au total près de 110 millions d'euros.

C'est vraiment bête et méchant : il n'a ni queue ni tête, aucun sens. Que veut dire « bonne santé » ? Cela ne veut strictement rien dire ! Si vous vouliez vraiment parler de la possibilité pour les Français de partir en bonne santé, vous n'auriez pas déposé tous ces amendements ! Vous êtes les idiots utiles du Gouvernement, qui est très heureux...

Des carreleurs, des maçons, des couvreurs, des magasiniers, des femmes de ménage veulent que nous débattions du fond, c'est-à-dire du report de 62 à 64 ans de l'âge de départ. Chers collègues, si vous voulez qu'ils partent en bonne santé, retirez vos amendements !

Ne servez pas la soupe au Gouvernement. Vous les aidez ! Ils sont ravis de ne pas parler du fond, de passer des heures sur ce qui n'intéresse pas les Français. C'est la pénibilité qui les intéresse, ainsi que les carrières longues et le report de deux ans. Revenez à la raison, arrêtez l'obstruction, servez les Français – et non plus votre chap...

À l'évidence, la pénibilité est une question majeure sur laquelle les Français nous attendent. Pour eux, la pénibilité s'apparente au fait de supporter, depuis plus de cinq ans, ce gouvernement qui n'a rien fait, qui multiplie les échecs en matière d'inflation des prix des produits alimentaires et de l'énergie. .

Vous méprisez les premiers de corvée, ces Français qui se lèvent tôt et qui travaillent dur. Il est vrai que vous êtes conseillés par le cabinet McKinsey, qui est très loin du terrain et de ces Français qui font vivre notre pays, qui permettent à chacun d'entre nous d'être ici. Chers collègues du groupe Les Républicains, je sais que vous avez ...

Alors, laissez-nous expliquer au Gouvernement, vous qui en êtes la béquille, ce qu'est la vraie vie. Je prends l'exemple de mon père qui a 58 ans. Toute sa vie, il a exercé le métier de couvreur et a travaillé sur les toits.

Chaque soir, ses genoux doublent de volume, et chaque matin, il est incapable de se lever car il est cassé. Vous ne pouvez vous en rendre compte. Lors des fausses concertations, j'ai invité monsieur le ministre à monter sur le toit avec mon père, par – 5 degrés, afin qu'il prenne conscience de ce qu'est la vraie vie et se rende compte de la réa...

Venez sur le terrain : vous comprendrez que pour une partie des Français, il est impossible de travailler jusqu'à 64 ans ! Avec Marine Le Pen, nous proposons une ligne très claire qui tient compte de l'âge d'entrée sur le marché du travail : un départ à la retraite à 60 ans…

…pour ceux qui ont commencé tôt leur carrière et pour ceux qui souffrent le plus. C'est la raison pour laquelle nous mettrons tout en œuvre pour faire échec à votre réforme.

Il se fonde sur le cinquième alinéa de l'article 100. Alors que nous entamons l'examen d'une série d'amendements identiques – 27 amendements émanant du groupe Socialistes et apparentés, qui souhaite certainement faire oublier que le Parti socialiste avait soutenu la réforme Touraine, et 11 amendements du groupe La France insoumise –, nous dema...

Après plus d'une heure de présentation de ces amendements de suppression, j'indique que nous, au Rassemblement national, ne les voterons pas, car nous ne sommes pas favorables à tous les régimes spéciaux et souhaitons supprimer ceux qui sont injustes et injustifiés. Aucune raison ne justifie, en effet, que les membres du Conseil social, économi...

Nous avons, aux côtés de Marine Le Pen, une vision pragmatique et très claire : s'il y a des problèmes de recrutement et de fidélisation dans certains métiers, il faut y remédier. Je pense notamment aux industries électriques et gazières. Nous sommes ici tous favorables, à l'exclusion d'une partie de la NUPES, à la relance du nucléaire dans not...

Nous ne souhaitons pas faire venir de la main-d'œuvre dans ces métiers en tension : il faut aider l'ensemble de ces filières à attirer des jeunes, ainsi que toutes les autres compétences requises. C'est la raison pour laquelle, quand bien même nous sommes contre certains régimes spéciaux, nous attendons la suite des débats pour nous positionner...