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Mais dans quel monde vivez-vous, ma pauvre dame ?
Ce n'est plus un melon, c'est une montgolfière !
…qui s'affranchit totalement des normes imposées aux agriculteurs français. Qui accepterait d'entrer dans le jeu de la concurrence déloyale en étant sûr d'y perdre, défendu par des hommes et des femmes pleinement soumis aux accords de libre-échange ? Dévoilez donc votre jeu en acceptant le sous-amendement. Si jamais vous avez raison et que vos accords de libre-échange sont bons pour l'agriculture française, on le saura ; sinon, vous serez démasqué. Mon petit doigt me dit que vous n'avez guère envie de l'être.
Monsieur le ministre, vous nous avez expliqué, dans un « en même temps » tout à fait improbable, qu'on pouvait concilier approvisionnement national et respect des accords internationaux. Grosso modo, vous dites aux agriculteurs que vous allez les protéger tout en les soumettant à la concurrence déloyale de produits de mauvaise qualité, produits loin et pour pas cher. M. de Fournas vous a d'ailleurs démasqué en révélant que l'accord du Mercosur continue de se négocier dans les couloirs. Alors, chiche ! Nous allons voir si vous êtes sincère, si vous êtes un homme de parole ; j'ai ma petite idée, mais le coup mérite d'être tenté. Ce sous-amendement vise ...
Quelle honte !
C'est un viticulteur qui vous le dit !
Vous, vous êtes modeste ?
Nous les prendrons nous aussi, ne vous inquiétez pas !
Ça s'appelle procrastiner !
Oh, arrêtez !
Vous, vous êtes lourd tout court !
C'est la troisième fois qu'il nous ressert cela…
Vous ne vous êtes pas gênés !
C'est un one man show !
Il connaît bien Léaument !
Ces gens salissent tout !
Au hasard, cher collègue !
Ils en sont à faire de la retape, tellement ils sont mauvais !
Le droit des voyous, jamais celui des victimes !
C'est normal, il est ridicule !
Pour défendre les voyous, vous, vous êtes toujours présents !
Vous êtes des petits télégraphistes !
Oui, il faut obéir bien servilement à la Commission européenne ! Je vous ferai quand même remarquer que vous êtes un élu français !
C'est vrai que ce n'est pas votre genre !
Ah ! Voilà le grand inquisiteur !
Seriez-vous en bisbille ?
C'est-à-dire dans le mur !
Grâce au Rassemblement national aussi ! Il faut le dire !
Surtout pas vous, pas ça !
Une remarque d'une grande utilité !
Elles viennent de votre côté !
Ce n'est pas parce que c'est systémique chez LFI que c'est systémique en France !
Ce n'est pas si loin de vous ! Vous êtes même champions en la matière !
Ça vous gêne de débattre à l'Assemblée, monsieur le ministre ? Alors il ne faut pas rester…
Vous êtes indigne de la cause que vous voulez défendre, monsieur Guedj. Vous êtes l'héritier de cet homme, l'héritier d'un collaborationniste ; alors vos leçons, vous vous les gardez !
de voir un socialiste mitterrandiste – François Mitterrand avait reçu la francisque des mains du maréchal Pétain, et les socialistes ont voté pour accorder à celui-ci les pleins pouvoirs – donner des leçons.
Je me fonde également sur l'article 100 du règlement. Tous ceux qui auront regardé ce débat seront, je crois, atterrés
Ce n'est pas pareil.
C'est inacceptable !
Ce n'est pas tolérable ! Nous ne pouvons pas accepter de nous faire insulter en permanence, madame la présidente !
C'était Mme Obono !
Vous parlez souvent à leur place !