Absolument !
Ne montrez pas du doigt !
Intervention décisive du président Mattei !
Il y a du progrès !
La ministre a raison !
J'ai connu du meilleur Sansu !
Comme si les communistes ne l'avaient jamais fait !
Ce que vous n'avez pas fait de 2012 à 2017 !
C'est vrai !
Sans ces infirmières, il n'y aura plus de politique de prévention dans ce pays. Elles ont fait un boulot formidable – j'y insiste. Or, elles sont en détresse. Il faut donc les aider – je suis convaincu que vous serez au rendez-vous. Ensuite, Yannick Neuder l'a très bien dit, nous avons un problème de sensibilisation au dépistage du cancer colorectal – qui a fait l'objet d'une animation dans ma commune il y a quelques jours. On peut faire tout ce qu'on veut, installer des cars de détection… Nous sommes les derniers de la classe ! Il est grand temps de s'attaquer à ce problème, qui mérite une attention absolue. Enfin, mettons le paquet sur la santé mentale ...
Monsieur le ministre, Cyrille Isaac-Sibille a bien identifié l'enjeu. Nous ne pouvons pas nous en tenir à un système qui repose exclusivement sur le curatif et dans lequel le service public et le privé, qui ont tous deux en charge la santé publique, ne se rencontrent jamais. Nous ne pouvons pas nous passer d'une politique de prévention globale car, vous le savez très bien, 1 euro investi dans la prévention permet d'économiser 10 euros dans le curatif. La situation exige donc que nous changions de paradigme. Vous avez du reste abordé le débat dans votre conclusion, en indiquant que vous étiez prêt à discuter, avec le Parlement, d'une nouvelle approche. Sans ...
Excellente initiative !
Il ne faut pas négliger, disais-je, l'activité économique générée par les domaines montagneux : 10 millions de personnes fréquentent les stations chaque année. Cela représente, avec les emplois induits, un véritable poids économique, et cela participe au rayonnement de la France. En effet, notre domaine skiable, unique et exceptionnel, est très prisé des touristes du monde entier. Voilà donc une belle proposition de loi qui apporte une brique supplémentaire à l'édifice entamé en 2014. Le sujet de l'attractivité économique n'est pas insignifiant. La plupart des professionnels du ski, que je rencontre régulièrement, exercent deux activités. Pour les ...
…savoyard, bien sûr, mais la Savoie n'est qu'une, même si elle est divisée en deux départements ! .
Pour le député de la Beauce que je suis, parler de ski pourrait paraître étonnant, mais ce serait oublier mon enfance : comme certains ici le savent – n'est-ce pas, cher André Chassaigne – j'ai grandi en Auvergne, à l'abri des montagnes du massif du Sancy – je le dis à l'intention de ma collègue élue de la circonscription voisine. Je tiens à dire à la députée qui a déposé ce texte qu'il s'agit d'une très belle initiative, comme j'ai eu l'occasion de le souligner en commission. Nous nous interrogeons souvent sur notre façon de travailler ensemble et de traiter des sujets qui peuvent parfois paraître un peu anodins. Ce n'est pas du tout le cas de celui ...
Oh là là, la ministre déléguée revient à la charge !
Madame Obono, votre temps de parole est écoulé !
Jamais les collectivités n'ont été autant aidées. Alors, je le répète, avançons !
Je termine, monsieur le président !
Quand on sait à quel point l'État se mobilise par l'intermédiaire du fonds Vert et des plans de relance, vous devriez au moins…
tandis que les moyens alloués à la politique de la ville s'effondraient de 40 %. Quel culot vous avez ! Quelle honte !
je regrette que Mme Chatelain ne soit pas là. J'étais déjà député à l'époque où un gouvernement de gauche a diminué de 13,5 milliards d'euros le montant des dotations aux collectivités locales ,
Quant à la NUPES, en particulier aux Écologistes ,
C'est votre responsabilité, et nous la ferons connaître !
La reconstruction n'attendra pas quatre années : elle doit commencer maintenant !
…ne pas voter pour un tel texte parce que vous souhaitiez voir qualifier autrement ces violences urbaines, il faut le faire ! La France saura que vous n'avez pas voulu reconstruire.
En outre, la fongibilité des aides d'État, dispositif exceptionnel, profitera au monde rural comme au monde urbain : c'est pourquoi je me suis élevé en commission contre l'amendement n° CE60, qui visait à exclure des fonds mobilisables la fameuse dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR). Quant aux marchés publics, madame Garrido, nous ne foulerons pas aux pieds le contrôle de légalité, bien au contraire, en facilitant le fait d'y recourir jusqu'à 1,5 million d'euros – sans doute aborderez-vous ce point, monsieur le ministre. Ce sera là une réponse très forte. Il ne reste plus à l'Assemblée qu'à adopter le texte, dès la première lecture, dans ...
Quand vous aurez géré une collectivité, vous verrez comment se passent les choses.
Comme l'a dit le ministre, nous en sommes au moment de l'analyse des faits, des enquêtes judiciaires, de la politique de la ville – les députés Écologistes n'étant pas encore là, j'y reviendrai à la fin de mon propos, car, de même que Thierry Benoit, je suis là depuis quelques années. En la matière, il conviendra de savoir, monsieur le ministre, pourquoi les résultats ne sont pas à la hauteur des moyens que nous déployons depuis de longues années. Je n'oublie pas que 500 communes ont été touchées, 750 bâtiments publics ou privés abîmés, détruits ; je pense à tous ceux qui ont perdu leur outil de travail, au médecin généraliste dont le cabinet a ...
Les images que nous avons tous pu voir entre le 27 juin et le 5 juillet sont dramatiques : durant des jours, elles ont montré une République fragilisée, déstabilisée. J'ai naturellement une pensée émue pour la famille de ce jeune qui est mort, mais aussi pour tous les agents des forces de l'ordre qui, jour et nuit, ont tenu bon afin que le calme et la paix reviennent, que nous puissions avancer.
Arrêtons de créer des commissions ad hoc ! Dans quel monde vivons-nous ? Dans chaque plan local d'urbanisme intercommunal (PLUI), dans chaque schéma de cohérence territoriale (Scot), les friches sont identifiées ! Le problème, c'est l'argent pour dépolluer et financer de nouveaux projets !
Les choses évoluent. D'abord parce que le fonds « friches », que nous avons créé, permet de débloquer des financements pour traiter les friches. Ensuite, il est possible de créer des établissements porteurs afin d'aider les collectivités, Charles Fournier le sait – même s'il a disparu –, nous l'avons fait en région Centre-Val de Loire ! Arrêtons de complexifier les dispositifs.
Mais ce n'est pas une commission régionale qui réglera le problème !
Dans mon territoire, il existe des friches militaires et industrielles, et cela fait quelques années que je vis avec !
Ça les ennuie ; ils sont jaloux !
Vous allez vous calmer ?
Le rapporteur est excellent !
Ils n'écoutent même pas !
Jamais deux sans trois !
Excellent !