Vous n'aimez pas le débat !
Il vise à rappeler, dans le rapport annexé, que les personnes victimes de violences intrafamiliales doivent être prioritaires dans l'attribution de logements sociaux. En effet, l'accès au droit des victimes ne peut être qu'imparfaitement garanti si celles-ci ne bénéficient pas d'un logement stable, dans lequel elles pourront se reconstruire.
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Bien sûr que si ! Vous n'êtes pour rien !
Pour la seconde fois, Emmanuel Macron a fait de l'égalité entre les femmes et les hommes la grande cause du quinquennat. Depuis un an, de grandes mesures ont été prises afin de poursuivre et d'intensifier les actions menées depuis 2017. Vous en avez cité un certain nombre parmi lesquelles, pour soutenir les victimes de violences conjugales, la création d'une aide d'urgence et le lancement d'un pack nouveau départ ; pour atteindre l'égalité économique et professionnelle, l'adoption il y a quelques semaines du pendant pour la fonction publique de la « loi Rixain » visant à accélérer l'égalité économique et professionnelle votée lors du précédent ...
Ça suffit ! Quel âge avez-vous ?
Mais de quoi parlez-vous ?
Ce n'est pas possible ! On parle de la justice, là !
Ce n'est pas ce qu'il a dit ! Il faut écouter !
Excellent !
C'est bon, là ! On peut travailler, maintenant ?
Monsieur le ministre de l'intérieur et des outre-mer, face à ce chahut, à ce chaos voulu par certains, arriverez-vous encore à trouver les mots pour rassurer ces hommes et ces femmes, ces engagés du quotidien, de sorte qu'ils ne démissionnent pas, qu'ils n'abandonnent pas, qu'ils ne désespèrent pas ? Aujourd'hui, une partie de la représentation nationale préfère les montrer du doigt, au risque de les menacer.
Ne vous en déplaise, nous continuerons à nous dresser pour que notre République continue d'exister et défende ses valeurs. Nous ne le faisons pas seuls, nous pouvons compter sur l'action résolue des femmes et des hommes qui, sur le terrain, au quotidien, continuent à nous protéger et à assurer notre sécurité – je parle bien évidemment des forces de l'ordre.
Eh oui ! C'est de vous que je parle, mesdames et messieurs de La France insoumise !
Un État de droit qui, malheureusement, depuis un an, souffre des amalgames et des exagérations mensongères provenant d'une partie des bancs de cet hémicycle, qui préfère se vautrer dans les polémiques plutôt que faire de la politique.
C'est bien ce qu'ont rappelé le Président de la République, la Première ministre, le garde des sceaux et le ministre de l'intérieur. Car, n'en déplaise à certains, nous sommes bel et bien dans un État de droit – et dans un État de droit, c'est ainsi que les choses fonctionnent !
Ma question s'adresse à M. le ministre de l'intérieur et des outre-mer. « Je n'en veux pas à la police, j'en veux à une personne : celui qui a enlevé la vie de mon fils. » Ces mots prononcés par la maman de Nahel ont trouvé un écho auprès de notre justice. En effet, le policier en question a été mis en examen pour homicide volontaire, puis placé en détention provisoire, et il devra répondre de ses actes.
Vous avez cinq ans ?
Eh oui ! Prenez vos responsabilités !
Êtes-vous sérieux ? Arrêtez de vous frotter les mains !
Père Castor, raconte-nous une histoire !
Que proposez-vous ?
Pourrions-nous avoir un débat sérieux ?
Vous avez perdu !
Quel rapport ?
Et donc ? Vous rejetez le texte ? Quelle logique implacable !
Ce n'est pas vrai !
Tout à fait !
Ça n'a rien à voir ! C'est n'importe quoi !
J'ai entendu des propos sexistes sur vos bancs ! Ils me critiquent parce que je suis une femme !
Travaillez non pas pour une seule personne mais pour l'ensemble des Français.
Malgré le bruit que vous faites, je ne crierai pas.
Je ne comprends pas pourquoi vous ne voulez pas défendre le pouvoir d'achat des Français. Le seul pouvoir que vous défendiez depuis le début de cette discussion, c'est celui de nuire et de détruire. Acceptez enfin de respecter le dialogue social !
Si vous n'êtes pas capables de l'entendre lorsque nous vous le disons, entendez au moins les syndicats. La secrétaire générale de la CFDT a rappelé elle-même ce matin qu'il était important de laisser le dialogue social et les négociations salariales traiter cette question. Nous montrons ici que nous sommes attachés au dialogue social. Nous en sommes les garants malgré vous parce que nous tenons absolument à faire avancer l'ANI et à le respecter.
Depuis hier, dans l'hémicycle – et après avoir déjà évoqué le sujet en commission des affaires sociales –, nous parlons du problème de l'augmentation des salaires. Or il se règle non pas par la loi mais branche par branche, au sein même des entreprises.
Nous ne coconstruisons pas avec vous !
Ce n'est pas l'amendement !
Écoutez, plutôt !
Avec cet amendement, posez-vous enfin la question de savoir qui défend le mieux la France : vous ou nous ?
Par cet amendement, vous expliquez que parce qu'un Français est binational, il serait en proie à des ingérences étrangères et plus susceptible qu'un autre de nuire à son pays ! Mais ne soyons pas dupes : qui a convoqué le sujet des ingérences étrangères, notamment celle de Poutine, dans cet hémicycle ? C'est bien vous !
Vous avez raison, madame la présidente. Si l'on enlève leur cravate à certains députés du Rassemblement national, on voit apparaître dans l'hémicycle des relents du FN. Ces amendements sont racistes et leur défense est xénophobe.
Vous avez raison, ça va être compliqué…