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Ce n'est pas exclu.
Le ministre a raison !
Je ne suis pas convaincu par vos arguments concernant la traçabilité. Quant au fait que certains garages solidaires ne seraient pas capables de se porter volontaires, cela ne doit pas nous conduire à l'interdire à ceux qui le peuvent.
L'objet de mon amendement est de garantir la pleine réussite du dispositif. Comme l'a fort bien expliqué notre collègue Bruno Millienne, il permet de trouver des solutions dans le cas où une AOM ne se saisirait pas de l'opportunité qui lui serait ainsi offerte – ce qui risque fort d'arriver.
Nous proposons que les associations proposant des services de mobilité aux publics les plus fragiles figurent dans la liste des bénéficiaires potentiels de ces véhicules. L'intervention de ces associations est prévue dans votre texte par le biais de possibles conventions, mais les identifier parmi les bénéficiaires permettrait d'offrir des solutions en cas de refus des AOM de se saisir du dispositif que vous proposez.
Le financement est bien le problème !
Ce n'est pas tout à fait historique. Un peu de retenue !
Elle ne l'avait pas été depuis quinze ans !
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Il y a des personnels de l'ASE qui s'investissent ! Il ne faut pas tout noircir !
Monsieur le président, je voudrais me réjouir avec vous et devant vous de la remise en service du train de nuit Aurillac-Paris le 10 décembre dernier, conformément aux engagements pris par Jean Castex. Je tiens à souligner l'implication de vos services en région. Cette nouvelle liaison a su trouver une clientèle, en dépit d'horaires inadaptés du fait de travaux sur la ligne, mais de très nombreux dysfonctionnements, principalement dus à une défaillance du matériel, sont à déplorer. Ils pourraient compromettre la réussite de ce projet pourtant essentiel pour Aurillac qui souffre d'une situation inédite d'enclavement. Pouvez-vous nous indiquer quels moyens ...
La carte scolaire en est la preuve !
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Très juste !
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Il importe de changer de méthode. On ne peut plus se satisfaire d'une approche purement comptable qui masque des réalités terribles. Un moratoire sur les fermetures de classes, moratoire que plusieurs collègues et moi proposons, permettrait de trouver le temps nécessaire pour construire de nouveaux indicateurs qui répondent réellement aux besoins de ces enfants qui méritent autant que les autres un encadrement de qualité.
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Je transmettrai bien évidemment ces éléments de réponse à Mme Valentin, mais je ne suis pas sûr qu'elle soit plus rassurée que je ne l'ai été il y a quelques instants. Je voudrais redire ici que le taux d'encadrement n'est pas un ratio pertinent dans des départements peu peuplés, avec des temps de transport des élèves qui dépassent l'entendement : parfois plus d'une heure trente au quotidien !
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur « Même lorsqu'il s'agit de la suppression d'un demi-poste, les conséquences peuvent être dramatiques ! « Les élèves entrant en sixième sont de plus en plus nombreux à ne pas maîtriser le français et les mathématiques, et la carence en enseignants leur sera préjudiciable. Vouloir alléger les classes du second degré est une bonne chose, mais c'est totalement inefficace si les cours élémentaires sont surchargés. Un mauvais bilan en CP est en effet synonyme d'une scolarité affaiblie. Il est donc fondamental de fournir les efforts nécessaires pour assurer un enseignement de qualité. « Quelles mesures le Gouvernement envisage-t-il afin de préserver ...
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur « Face à des estimations complètement improbables, les partenaires sociaux se mobilisent et affirment clairement leur opposition à cette carte scolaire ; les parents d'élèves et leurs familles manifestent pour soutenir le maintien d'un modèle scolaire qui fonctionnait bien jusqu'ici puisque, de l'aveu même des directeurs de collège, les élèves arrivent dans le second degré avec un bon niveau, une bonne autonomie et un comportement tout à fait sérieux. Fermer autant de classes aurait pour seule conséquence de fragiliser cet édifice éducatif pourtant efficace et de remettre en cause toute l'organisation nécessaire pour le transport des élèves, puisqu'il ...
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur « Les syndicats l'ont clairement montré. Alors qu'il y a une carence de 210 élèves en Haute-Loire selon les chiffres du ministère, les analyses de terrain effectuées par les directeurs d'école révèlent l'exact inverse. En somme, la carte scolaire pour la rentrée 2024 conduira à la fermeture de onze classes pour une seule ouverture. Ce n'est pas possible !
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Je vous prie d'excuser l'absence de ma collègue et je vais vous donner lecture de la question qu'elle adresse à Mme la ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse. « L'accès à l'éducation dans l'enseignement du premier degré est menacé en Haute-Loire. C'est en tout cas le constat que font de nombreux syndicats de mon département, qui tentent d'alerter l'inspection académique à ce sujet. Saint-Étienne-Lardeyrol, Le Puy-en-Velay, Les Estables, Saint-Jeures et bien d'autres encore vont subir, à la rentrée 2024, une perte d'enseignants, voire la fermeture d'une classe, du fait d'une carte scolaire tout à fait inadaptée.
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur …ce qui n'est pas synonyme de confort pour les élèves ni pour les enseignants. Voilà qui s'apparente, à s'y méprendre, à une école à deux vitesses !
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Je constate que, dans les territoires urbains, on dédouble les classes pour faciliter les apprentissages essentiels, ce qui est une excellente chose, alors même que dans les territoires ruraux, l'on réinvente les classes à deux niveaux,…
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Je ne peux que déplorer qu'il y ait un fossé entre les directives du ministère appliquées sur le terrain et le discours du Premier ministre.
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Monsieur le ministre, je suis au regret de vous dire qu'une telle réponse n'est pas de nature à rassurer ni à satisfaire les parents d'élèves et les élus de mon département.
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Les services de l'éducation nationale justifient ce projet en faisant valoir que le taux d'encadrement par élève reste confortable si on le rapporte à la moyenne nationale. Cependant ce ratio n'est pas pertinent car il ignore les réalités des territoires ruraux. Conjuguées aux mesures prises l'an dernier – dix postes déjà supprimés à la rentrée 2023 –, celles prévues cette année viennent annuler les bénéfices des conventions pour un aménagement du territoire scolaire signées en 2014 avec le ministère. Celles-ci avaient permis de limiter le nombre de suppressions de postes d'enseignants au vu des exigences du maillage territorial et des limites du ...
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Il n'est pas acceptable que des postes soient supprimés dans des écoles marquées seulement par une légère baisse des effectifs et qui connaissent même parfois des perspectives de progression, ni que ces mesures aient pour effet d'empêcher l'accueil des enfants en très petite section, ni, enfin, que des postes d'enseignant soient supprimés dans des communes qui ont investi dans leurs locaux scolaires.
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Ces nouvelles diminutions de moyens dans un département de montagne sont insupportables parce qu'elles mettent en péril le maillage des écoles rurales et la qualité de la prise en charge des élèves. En outre, elles entraînent une augmentation du temps de transport de ces élèves et viennent anéantir tous les efforts entrepris par les communes et collectivités locales pour renforcer leur attractivité.
Vincent Descoeur, suppléant Mme Isabelle Valentin
Vincent Descoeur Je souhaite appeler l'attention de Mme la ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse sur l'incompréhension et la colère que suscite le projet de son ministère de supprimer treize postes d'enseignants à la rentrée 2024 dans les écoles du Cantal, ce qui se traduira par la fermeture de seize classes.
Il va falloir ressortir les pastilles d'iode…
Ça, ce n'est pas possible !
Il faut une loi Egalim 4, voire 5 !
Vous avez échoué !
C'est très juste ce qu'il dit !
Et les filières ? Et l'élevage ? Ce qui compte, c'est le revenu !
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Les collectivités locales proposent des activités culturelles dans les territoires !
La principale revendication des agriculteurs, exprimée avec force ces dernières semaines, est la revalorisation de leurs revenus, par la juste rémunération de leur travail. Au même titre que tous les chefs d'entreprise, les agriculteurs aspirent à vendre à vendre leurs produits à un prix qui puisse couvrir les coûts de production. C'est une aspiration légitime à laquelle n'ont pas répondu pleinement les lois Egalim, constat dont je ne me réjouis pas. C'est particulièrement vrai s'agissant des éleveurs, et plus encore ceux du Cantal et du Massif central, qui peuvent pourtant se prévaloir d'un modèle très vertueux, reposant sur des prairies naturelles qui ...
Irrecevable ! Quelle honte !
C'est un peu court !
Comme si vous ne mettiez jamais personne en cause, vous !
C'est un honneur !
Ce n'est pas très bon signe pour les maires !
M. Jumel a raison, ce n'est pas la même chose !
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Celle de François Hollande !
C'est écrit par ChatGPT !
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Toujours la politique du chiffre !