Interventions sur "peuple"

41 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

…impose, seul contre tout un peuple, deux ans de vie volés. En Macronie, une loi peut passer en force sans aucune légitimité parlementaire ni populaire ; l'Assemblée nationale est piétinée ; l'initiative parlementaire et le droit d'amendement sont bafoués.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

En Macronie, les citoyens, l'intersyndicale, les associations, les représentants du peuple ne comptent pour rien. Seuls valent les caprices du Président auxquels la nation tout entière doit se plier.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Le droit de grève est attaqué par des réquisitions massives. Les représentants du peuple sont empêchés de voter contre la retraite à 64 ans. Articles 47-1, 44.2, 44.3, 49.3, 40 de la Constitution : jamais autant d'outils antidémocratiques n'avaient été mobilisés en même temps dans l'histoire de la Ve République.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

…en Macronie ? Madame la Première ministre, vous avez bouché toutes les issues démocratiques. Vous ne vous rendez même plus compte des seuils que vous franchissez. Gouverner, c'est assumer une responsabilité devant l'Histoire. Avec vos méthodes, vous ouvrez la porte au pire. Le bras de fer d'Emmanuel Macron contre le peuple de France est tout le contraire de la démocratie.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Dans Du Contrat social, Rousseau écrit : « La puissance législative appartient au peuple, et ne peut appartenir qu'à lui. […] Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle ; ce n'est point une loi. » Sommes-nous encore en démocratie en Macronie ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Voilà le vrai danger pour notre République ! Madame la Première ministre, la République n'est rien sans son peuple. Vous aurez beau clamer que vous la défendez, en réalité vous ne tolérez de citoyens que silencieux et passifs. Vous n'aimez la démocratie que lorsqu'elle convient aux intérêts que vous défendez. Dites ce que vous voulez, mais ne prétendez pas être démocrates.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

…mais ce n'est que partie remise. Tôt ou tard, vous tomberez, car la colère a dépassé la question des retraites. C'est toute votre politique et votre monde que le peuple de France rejette. Comme l'ont fait avant elle les gilets jaunes, l'immense majorité sociale du pays veut savoir qui décide. Madame la Première ministre, allez dire à l'Élysée que le seul souverain que nous reconnaissons est le peuple et que nous n'avons ni roi ni maître !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Ne pensez pas sortir victorieux de cette guerre d'usure. Déjà 86 % des Français ne veulent plus de cette Ve République. Nous sommes les partisans d'une VIe République qui permette au peuple de se réapproprier sa souveraineté et de conquérir de nouveaux droits. Si le référendum d'initiative citoyenne existait pour proposer ou abroger une loi, notre pays pourrait sortir par le haut de l'impasse dans laquelle nous a enfermés Emmanuel Macron. Nous, parlementaires de la NUPES, en faisons le serment. Nous n'arrêterons jamais de lutter contre la retraite à 64 ans et pour le droit à la ret...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Vous ne viendrez pas à bout de nous, car nul ne peut interdire durablement à un peuple libre de faire entendre sa volonté. « Soyez résolus de ne plus servir, et vous voilà libres », écrivait Étienne de La Boétie. Le peuple immaîtrisable et fier de sa liberté, le peuple qui se lève, voici le vrai visage de la République ! Votez cette motion de censure, collègues, comme un sursaut de dignité de notre parlement contre la volonté présidentielle d'en limiter durablement les droits !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Louis Thiériot :

Et vous perdrez encore car une partie du peuple de gauche, celui qui ne s'est pas couché devant La France insoumise – La France irresponsable – relève la tête. Le succès de la convention de Bernard Cazeneuve montre qu'il existe encore une gauche éminemment républicaine.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Louis Thiériot :

Oui, nous voulons la liberté : la liberté de débattre sur le fond, d'aller au bout des textes, de défendre des amendements raisonnables pour améliorer le quotidien du peuple de France. Nous ne voulons pas d'un Parlement otage de ceux qui pratiquent l'obstruction, de ceux qui veulent le transformer en ZAD – zone à défendre – ou en assemblée générale de l'Unef – Union nationale des étudiants de France !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Louis Thiériot :

Mais lui n'avait pas déserté la cause du peuple : il voulait le bien des mineurs de Carmaux, ses camarades de lutte. Il ne cherchait pas à faire de la misère le terreau de ses succès électoraux.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

...ble des défaillances d'entreprises, que vous cachez par des effets d'annonce consistant à promettre des emplois dans cinq ans. Dans les cinq minutes qui me sont imparties, je préfère toutefois me concentrer sur le déni permanent de notre démocratie que nous vivons sous votre gouvernement. Oui, la semaine dernière, tous les Français – je dis bien tous – ont été humiliés, car les représentants du peuple que nous sommes ont été empêchés d'assumer une de leurs missions institutionnelles fondamentales : voter la loi. La présidente de notre assemblée, le pistolet sur la tempe comme l'a rapporté la presse, a déserté sa fonction et piétiné la séparation des pouvoirs qu'elle était censée défendre. Rien ne justifiait ce détournement de procédure de l'article 40, si ce n'est votre volonté affichée de bâ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

Pas un Français ne peut être dupe de votre discours mielleux. Vous prétendez rechercher le dialogue et l'apaisement, alors que vos actes relèvent en permanence de la provocation et du déni de démocratie. Alors que vous donnez des leçons de démocratie à la terre entière, vous refusez aux représentants du peuple, ici même, le droit d'initiative législative – car c'est bien de cela qu'il s'agissait jeudi dernier. N'allez pas ensuite pleurer sur l'abstention qui mine nos institutions, alors que c'est votre mépris du peuple qui écœure chaque jour un nombre plus important de nos compatriotes. L'histoire de France nous a heureusement appris qu'on ne peut éternellement gouverner contre le peuple. Si, ici même...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

C'est pourquoi il est fondamental, urgent et important de censurer ce gouvernement méprisant et arrogant qui, en seulement neuf mois, a déjà piétiné le peuple et notre assemblée à de multiples reprises et se croit toujours intouchable. Nous ne redresserons la France qu'avec la confiance des Français. Voilà pourquoi nous ne devons pas avoir peur de la menace de dissolution. C'est en effet au peuple français de trancher le conflit de légitimité entre un président isolé et une assemblée de moins en moins gouvernable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSégolène Amiot :

…essaye tout simplement de tuer la démocratie à petit feu, qu'il tente par tous les moyens de museler la volonté du peuple. L'Assemblée nationale est tue, sous le couvert d'une constitution vieillissante ; les médias sont censurés ; les manifestations sont réprimées et confrontées à une volonté croissante de les empêcher.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenjamin Lucas-Lundy :

C'est notre honneur de défendre ici nos convictions – et c'est l'histoire de cet hémicycle. Je veux vous le dire, puisque chacun se fait l'interprète de nos concitoyens : ma conviction, c'est que les Françaises et les Français, ce peuple éminemment politique, aiment nos débats. Ils nous ont justement mandatés pour débattre et pour défendre ici des valeurs, des convictions et des solutions. C'est toute l'histoire du Parlement qui, pendant des jours et des nuits, a débattu et a permis de grandes conquêtes pour la République et pour les droits sociaux. Ce fut son honneur de les voter. Ce fut aussi l'honneur des parlementaires minori...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Victor Castor :

Et de six ! Comme une mauvaise farce qui se répète, pour la sixième fois, Mme Borne a engagé la responsabilité de son gouvernement sur un texte budgétaire. Une fois de plus – une fois de trop –, l'exécutif veut museler la représentation nationale. Faut-il rappeler à un gouvernement nommé qu'en faisant taire les députés qui, eux, ont été élus, c'est le peuple que le président Macron refuse d'écouter ?